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Il y a une grande tentation quand on investit dans un publireportage pour des magazines comme Challenges, Capital ou encore Paris Match : vouloir tout dire.

L’une des tentations, quand on s’apprête à réaliser un publireportage pour des magazines comme Challenges, Capital ou encore Paris Match, c’est de vouloir tout dire. On voudrait profiter de cette tribune pour expliquer dans les moindres détails, toute l’activité de son entreprise, décrire ses offres, ses produits, ses services, ses nouveautés… Or, quelle que soit la taille de l’espace dans lequel on investit, un quart de page, une demi-page ou une page entière, on sera bien obligé de faire une sélection. Il est évidemment déconseillé de vouloir synthétiser un ensemble touffu d’informations pour faire rentrer au chausse-pied un maximum d’éléments.

Pour un publireportage de qualité : faites des choix !

Se lancer dans la création d’un publireportage dans des magazines comme Capital implique en réalité de faire un choix éditorial, comme le fait un journaliste quand il décide de réaliser un article sur un sujet. Il choisit au préalable un angle, c’est-à-dire un fil rouge, qu’il suit tout au long de la narration pour répondre à une question de façon précise. Il abandonne donc la plupart des informations qui sont extérieures à cette trame. L’art de choisir le bon angle, le plus intéressant pour le lecteur, fait souvent la différence entre un bon et un moins bon rédacteur. Un seul et même sujet comporte un nombre infini d’angles. Il s’agit donc d’opter pour celui qui éveillera le plus la curiosité.

Pour un publireportage de qualité : place aux images

Deuxième point, il ne faut surtout pas sous-estimer la force de frappe des visuels. L’autre tentation quand on veut parler de son entreprise à travers un publireportage, rejoint la première. On veut tout dire, trop dire. On ne laisse plus de place pour de beaux visuels.  Or une image vaut mille mots. Privilégiez des images ludiques, esthétiques, colorées, signifiantes et de belle dimension. On oublie aussi trop souvent, qu’un publireportage se situe à la frontière de la communication et de l’information, de l’article journalistique et de la publicité pure. Il serait dommage d’adopter tous les codes visuels d’une publicité, alors que l’exercice n’est pas tout à fait le même. Faut-il par exemple insérer le logo de son entreprise dans le publireportage ? Pas nécessairement. Dans certains cas, il peut être judicieux de s’en passer. Le publireportage se rapproche ainsi davantage du style d’un article journalistique, ce qui renforce sa crédibilité.

Pour un publireportage de qualité : faites confiance au Groupe SCP

Pour un résultat de qualité, vous pouvez faire confiance au groupe SCP, qui est le spécialiste français de la réalisation de publireportages dans des magazines comme Challenges, Capital, Paris Match ou encore Voici et Gala. Le groupe SCP collabore avec un réseau de 70 journalistes-rédacteurs-photographes expérimentés et implantés partout en France, capables de vous conseiller et de réaliser un publireportage de qualité, à la fois sur le fond et la forme.